Seuls 65 % des candidats réussissent l’épreuve pratique du permis de conduire. Oui… Cela signifie que plus de 3 personnes sur 10 peinent à convaincre les examinateurs. Forcément, alors que la date de votre examen approche, vous stressez. Découvrez sept astuces à même d’améliorer vos chances de réussite au permis de conduire.
1. Prenez du repos
Une semaine avant le jour J, ménagez-vous. Faites une croix sur les virées nocturnes et sur les aliments trop gras ou trop salés. En effet, ces derniers peuvent nuire à votre sommeil. La veille, couchez-vous tôt en terminant la journée avec une douche froide.
2. Prenez les devants
N’attendez pas la dernière minute pour choisir votre tenue. Plusieurs jours avant ou la veille de l’examen du permis, choisissez les vêtements que vous allez porter. Idéalement, ces derniers doivent être neutres et confortables. Concernant les chaussures, pas de pieds-nus ou de talons. Pensez aussi à attacher vos cheveux et à ne pas porter de bijoux gênants.
Si vous avez vraiment de la peine à gérer votre stress préparez-vous à l’aide ce guide d’AAAEP, essayez la méditation, l’homéopathie ou le sport.
3. Apprenez à gérer l’attente
Une fois sur le lieu de l’examen, ne vous laissez pas abattre par les airs dépités des candidats malheureux. De même, il n’est pas utile de vous lancer dans des réflexions hasardeuses avec les autres candidats.
Restez un peu à l’écart de ces conversations et concentrez-vous sur la voiture dans laquelle vous allez passer votre examen. Repérez les lieux et familiarisez-vous mentalement avec les opérations à mener.
4. Enfin, le grand moment…
Après une attente interminable, c’est à vous de prendre le volant. Préparez votre carte d’identité ou votre livret d’apprentissage si vous êtes en conduite accompagnée.
Dès que le moniteur vous fait signe, approchez et déposez vos effets personnels sur le siège arrière. Avec un large sourire, dites “bonjour madame” ou “bonjour monsieur”. Asseyez-vous sur le siège conducteur, ajustez votre siège et mettez votre ceinture. Vous êtes prêt.
5. Vérifiez les instruments avant de démarrer
Attention… Même si vous êtes impatient de montrer vos talents de pilote, n’en faites rien.
Quand l’examinateur vous donne son feu vert, ne mettez pas directement le contact. À la place, prêtez attention aux instruments de repérage et installez-vous correctement. Est-ce que les rétroviseurs sont bien ajustés ? Est-ce que le siège conducteur est correctement ajusté ? Même si le candidat précédent a effectué tous les ajustements, faites semblant de refaire ces opérations.
5. Ne vous laissez pas déstabiliser
Parfois, l’examinateur cherchera à vous faire douter. Ou alors, il prendra un malin plaisir à attirer votre attention. Ne tombez pas dans ces pièges. Gardez les yeux rivés sur la route.
L’un des volets crucial de la conduite est la gestion du stress. C’est pourquoi certains examinateurs seront très froids tandis que d’autres vous harcèleront de questions. Dans un cas comme dans l’autre, ne paniquez pas. Regardez droit devant vous et appliquez ce que vous avez appris à l’auto-école.
6. Révisez le code de la route
Ce n’est pas parce que vous avez réussi l’examen théorique que vous en avez fini avec la lecture des panneaux de signalisation. Lors de l’évaluation pratique, l’examinateur a le droit de tester vos connaissances du code de la route. Attention à ne pas le décevoir !
7. Effectuez un repérage des lieux
Dès que vous êtes notifié du lieu de votre examen, rendez-vous sur place pour vous familiariser avec l’environnement. Seul ou avec votre moniteur d’auto-école, repérez les potentiels circuits. Si vous êtes accompagné de votre instructeur, n’hésitez pas à conduire dans la zone. Ainsi, le jour J, vous serez moins enclin à perdre pied à cause du stress.